Dernièrement mon fils s’est trouvé une passion avec le slime, à un tel point qu’il m’a vidé toutes mes bouteilles de liquide vaisselle, lessive et autres produits ménagers pour tester à mon plus grand désespoir. Il avait beau regarder des vidéos, tester et recommencer, à chaque fois il échouait. Je me suis contentée de lui dire que de l’échec on apprenait et que Thomas Edison avait réalisé plus d’un modèle avant de parvenir au bon. Et puis un jour il a craqué et s’est mis à pleuré en disant qu’il n’arriverait jamais à faire du slime, qu’il n’avait pas les compétences pour…
Là je suis intervenue et lui ai dit : “il te faut les bons ingrédients, comprendre comment ça fonctionne et un protocole correct. Ensuite nous achèterons ce qu’il faut. Je te montrerai comment réaliser une expérience quelle qu’elle soit tout en respectant les règles de sécurité et d’organisation nécessaire pour y parvenir.” Et oui, faire du slime, c’est de la chimie. Donc il faut les bonnes molécules pour y parvenir.
Que trouverez-vous dans cet article ?
Pour réaliser notre slime, on a acheté un livre en anglais de Karina Garcias – DIY Slime. (Do It Yourself Slime). J’ai ensuite pris le temps de le faire avec lui et du coup je vous partage les étapes. Il se peut que vous trouviez d’autres recettes qui fonctionnent, mais en tout cas celle-ci est opérationnelle, c’est garanti ! À la fin de l’article, vous trouverez aussi la vidéo de l’expérience.
À la fin de cet article vous trouverez le protocole en image et en vidéo. Mais avant, on ira quand même un peu loin que la simple recette. Dans un premier temps on va faire un petit lien avec l’anglais. Puis on va définir les propriétés physique de cette drôle de matière.
Ensuite on expliquera ce qui se passe exactement quand on fabrique du slime. Est-ce une réaction chimique ou pas ? Enfin on terminera avec notre fameuse recette de slime fluffy et un petit quizz à la fin pour voir ce que vous aurez retenu. Si cet article vous plait, pensez à le partager sur vos réseaux et à commenter, car un blog sans commentaires, c’est comme un repas sans sel 😉
Sommaire de l'article. Cliquez sur la flèche pour l'afficher puis sur les titres.
Le ou la slime ?
Et bien avouons-le, au début quand mon fils m’a parlé de slime, je disais la slime. Je trouvais que ça sonnait tellement mieux à l’oreille. C’est ce qui explique que sur la vidéo c’est écrit la slime. Comme vous devez vous en douter, je me suis rapidement fait remettre en place dans la sphère internet. On dit LE slime ! Et pourquoi ça ? Parce que c’est un mot anglais banane et qu’en anglais il est masculin ! Oups, autant pour moi.
Ok bon, on a intégré, le mot slime est masculin et anglais. Mais au fait ça veut dire quoi ?
Et bien d’après le site Linguee, cela signifie : boue, bave ou substance visqueuse.
Mais au fait, nous on va faire du slime fluffy aujourd’hui. Alors ça veut dire quoi fluffy ? Cela signifie duveteux, léger, cotonneux, moelleux, aérien…
Le slime c'est dangereux ?
Oui… et non. Le problème soulevant maintes polémiques, j’ai bien évidemment voulu creuser en profondeur le sujet. Et je me suis tapée la lecture de rapport toxicologique de l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) ainsi que le bulletin d’information de toxicologie de celui du Québec (INSPQ).
LE produit dangereux qui fait polémique c’est le borax et l’acide borique qui est une forme chimique dérivée du borax.
Je vous site un extrait de mes lectures :
Or les pipettes utilisées dans cette recette sont des solutions pour lavage ophtalmique (en cas de conjonctivite). Elles contiennent 12 mg de borax et 18 mg d’acide borique par millilitre. Sachant qu’une pipette a un volume de 5 mL et qu’on en utilise 4 à 7 dans la recette de slime fluffy, on arrive 420 mg de borax et 630 mg d’acide borique maximum. Soit un total de 1050 mg de ce produit, donc environ 1 gramme.
Gardons aussi en tête que les quantités citées dans le rapport de toxicologie sont des quantités ingérées. Or le slime n’est pas sensé être mangé !
Toutefois, cela reste un produit irritant pour les muqueuses et en fonction de la sensibilité de chacun et des allergies, il peut y avoir des effets indésirables pour certaines personnes. Je n’ai jusqu’à présent jamais rencontré de difficultés avec mes enfants mais il était important de vous communiquer TOUTES les informations.
Quelles sont les précautions à prendre ?
Tout d’abord la logique voudrait que vous ne laissiez pas des enfants de moins de 3 ans manipuler du slime. Mais je dirais que pour éviter tout risque, on pourrait se dire qu’avant 5-6 ans, on oublie. Expliquez leur les risques et invitez les à mélanger avec une spatule lors de la préparation. Demandez leur de se laver les mains quand ils ont fini de jouer avec leur slime et ne les laissez pas dormir avec. Ça peut paraître saugrenu comme remarque, mais chez moi c’était nécessaire lol.
L’euphorie était telle que ma fille ne voulait plus le lâcher. Faut dire qu’entre la satisfaction de réaliser quelque chose, le réussir pour ensuite s’amuser avec, difficile de lâcher le dit objet en question.
D’où l’intérêt de présenter ce type d’activité à partir d’un certain âge. Âge à partir duquel ils sont aptes à en comprendre les risques aussi minimes soient-ils. Ce sont les expositions répétées et intensives qui sont nocives. Donc clairement ce sont des expériences faciles et hyper sympas à faire, mais ce n’est pas une expérience à réaliser tous les matins comme un petit déjeuner !
Bien, maintenant que les explications ainsi que les précautions d’usages ont été données, nous pouvons enfin passer à la recette magique !
Le matériel pour faire du slime fluffy
- Un saladier
- de la colle cléopâtre liquide
- de la mousse à raser
- 1 verre mesureur
- 1 balance
- du colorant alimentaire ou des cartouches de couleur (non indispensable) ou des paillettes pour faire joli 🙂
- 1 spatule pour mélanger
- des pipettes d’acide borique (ou solution occulaire) disponibles en pharmacie pour 2,75 €
Le protocole
Prenez une balance et réglez l’unité de mesure à oz.
Disposez alors un récipient sur la balance (ça peut être directement le saladier) puis tarer (mettre à zéro) la balance
Versez alors 4 oz de colle cléopâtre dans le récipient ou 113 grammes si votre balance ne possède pas cette unité.
Versez l’intégralité de la colle dans le saladier, puis ajoutez si besoin le colorant ou les paillettes. Mélangez.
Remplissez 355 mL d’un verre mesureur avec de la mousse à raser.
Transvasez alors toute la mousse à raser dans le saladier contenant la colle et le colorant, puis mélanger jusqu’à obtenir une pâte visqueuse et homogène.
Ajoutez ensuite une pipette d’acide borique de 5 mL. Surtout n’en mettez pas plusieurs d’un coup car cela risquerait de faire échouer l’expérience. Il faut ajouter 4 à 7 pipettes de borax une à une et surtout bien mélanger après chaque ajout.
Vous obtiendrez une slime de plus en plus consistante que vous pourrez ensuite malaxer à la main.
Si vous êtes plutôt visuel, voilà la vidéo de l’expérience (à l’époque je disais encore une slime, donc pardonnez mon erreur) :
On fait une réaction chimique ou pas ?
Bon on va parler de molécules et d’atomes. Je vais essayer de vous simplifier les explications au maximum. Mais… si vous avez déjà lu mon livre des atomos à vos enfants, alors vous allez pouvoir me suivre sans trop de problème. Le livre des atomos à nos enfants ??? Oui, oui vous avez bien lu. Ce livre-là, c’est du programme de 4ème tellement simplifié que même des enfants de 5 ans (voir moins) peuvent le lire. Mais pour en savoir plus à ce sujet je vous invite à découvrir le livre ici : atomos.
Revenons à nos moutons.
Pour réaliser du slime, deux ingrédients sont essentiels. Tout ce que vous ajouterez en plus permettra seulement de modifier la texture ou l’esthétique de votre slime. Ces deux ingrédients ne vont pas vraiment réagir entre eux. Je dirai plutôt qu’ils vont se réorganiser.
Ces deux ingrédients sont : le PVA (alcool polyvinylique) et l’acide borique.
Les atomes
Le PVA, c’est une très longue molécule. Heuuu, c’est quoi une molécule ? C’est une association d’atomes. Heuuuu, c’est quoi un atome ?
Ok, on reprend depuis le début. Toute matière est faite de quelque chose. Prenons l’exemple des morceaux de sucre. On peut écraser un morceau de sucre jusqu’à obtenir du sucre en poudre. On peut donc dire que les grains de sucre constituent le carré de sucre. Et bien imaginez que vous ayez la possibilité de casser encore ces grains encore et encore. Dès lors que vous n’arriverez plus à les casser, le plus petit grain s’appellera un atome.
D’ailleurs le mot “atome” vient du grec “atomos” ce qui signifie insécable. En fait, pour être plus précise, il y a presque 2 500 ans, le philosophe grec Leucippe et son disciple Démocrite ont suggéré que toute matière était composée de particules infimes et invisibles à l’oeil nu… Et ils ont inventé le mot atomos. Bon aujourd’hui on sait que les atomes sont eux-mêmes composés de particules encore plus petites, mais le nom est resté.
Bref, tout ça pour dire de façon grossière que toute la matière est composée de tous pleins de petits grains invisibles à l’oeil nu (car trop petits). En fait, pour vous donner une idée de leur taille, vous prenez 1 millimètre et vous le divisiez en 10 millions. Vous visualisez ? Ou pas d’ailleurs 😉
En chimie, les atomes qu’on retrouve souvent s’appellent carbone, hydrogène et oxygène.
Les molécules
Ok, vous savez maintenant que toute la matière est composée d’atomes. Maintenant pour simplifier, on va dire que ces atomes sont des boules de taille différente et qu’il y en a 118 différents que l’on classe dans un tableau appelé classification périodique. Mais là, je m’égare. Tous ces atomes peuvent se combiner entre eux. Enfin pas tout à fait, il y en a qu’on des affinités entre eux, et d’autres pas. C’est comme le mariage quoi ! Bon, après les atomes ont des règles un peu différentes. Je dirai qu’on est plutôt dans la polygamie avec eux hein !
Et puis ils ne peuvent pas se marier n’importe comment. Il y a des atomes monogames comme l’hydrogène et des polygames comme le carbone ou l’oxygène. En tout cas, quand les atomes se marient, ils forment une molécule. Tadammmm ! Et boum, c’est balancé.
Et il se trouve que le PVA, en plus d’être une grosse molécule, c’est ce qu’on appelle un polymère. En gros, pour hyper hyper simplifier, imaginez qu’on prenne une molécule, qu’on la duplique plein de fois comme un copier-coller, sauf qu’on va relier entre elles ces molécules copiées-collées.
Bon heu c’est hyper vulgarisé et je ne vous cache pas que la synthèse du PVAL est beaucoup plus complexe que ça. Mais… je ne vais pas me mettre à sortir des gros comme tautomérisation, hydrolyse ou polymérisation. Donc… on s’arrête là !
L'alcool polyvinylique ou PVA ou PVAL
Mais on en trouve où de ce polyvinymachinchosebiduletruc ? Et bien… dans la colle liquide. C’est la matière première pour les adhésifs. Ce qui ressort souvent dans les recettes de slime, c’est la colle Cléopâtre. On a acheté une bouteille en grande surface (Carrefour pour ne pas les citer), mais vous en trouverez aussi à Cultura ou sur le net. On a choisi la forme transparente, mais je crois que la colle blanche fonctionne très bien aussi.
Allez, pour le fun, je vais vous partager sa formule chimique !
Note 1 : les traits représentent les fameuses unions que les atomes font entre eux. Le carbone se “marie” généralement avec 4 autres atomes, l’hydrogène avec 1 et l’oxygène avec 2 (il y a des exceptions). On appelle ces traits d’union “des liaisons covalentes”.
Note 2 : en chimie, certaines liaisons (mariage) ne sont pas représentées quand elles sont récurrentes et évidentes. C’est le cas des liaisons carbone-hydrogène et oxygène-hydrogène. On appelle ça des formules semi-développées (parce qu’on n’a pas représenté tous les traits d’union). Si on avait représenté toutes les liaisons la molécule ressemblerait à ça :
On voit tout de suite que visuellement parlant ça devient très chargé et donc difficile à exploiter lors des représentations avec d’autre molécules.
Note 3 : La formule semi-développée présentée plus haut peut être écrite de façon encore plus simplifiée en supprimant les carbones et hydrogène qui ont systématiquement 4 et 1 liaisons. Les chimistes savent alors que les sommets représentés sur la figure ci-dessous sont des carbones et qu’ils sont obligatoirement reliés à des atomes d’hydrogène. On appelle ça des formules topologiques.
L'acide borique
Le deuxième ingrédient magique c’est l’acide borique. Ce petit coquin réagit au contact de l’eau (de même que le borax d’ailleurs) et se transforme partiellement en ce qu’on appelle un ion. Je ne rentrerai pas dans les explications ici, sinon je vais vous perdre et surtout je vais encore finir avec un article beaucoup trop long. Ce qu’il faut retenir c’est que cette entité au nom barbare (ion tétrahydroxyborate), se trouve avoir quelques affinités avec notre PVAL (alcool polyvinylique). Ouh les coquinous, ça sent le mariage tout ça !
Bon, en fait c’est une relation assez complexe parce que même s’ils sont attirés l’un envers l’autre, ils ont malgré tout choisi de conserver leur indépendance et ne se sont pas mariés. Ils se séparent assez facilement et reviennent aussi assez facilement ensemble.
Allez encore pour le plaisir, voilà la formule de cet ion :
La réticulation
Voilà encore un titre bien barbare. Ce mot vient du latin “reticulum” qui signifie “filet à petite maille, réseau”.
En gros, l’ion compliqué vu précédemment (ion tétrahydroxyborate), va servir de lien entre les molécules de PVAL (la grande molécule présente dans la colle) pour former un réseau.
Pourquoi ?
Et bien parce qu’il se trouve qu’il y a une longue histoire d’amour entre les atomes d’oxygène et les atomes d’hydrogène. L’oxygène a un tel pouvoir de séduction (qui pourtant s’appelle de l’électronégativité) qu’il attire indubitablement l’atome d’Hydrogène, bien trop faible pour résister à une telle attraction.
Vous visualisez c’est quoi le jeu des géomag ? J’ai représenté cette réticulation avec les géomag qui sont des aiment et qui pour le coup imagent bien cette liaison hydrogène. Sur les images ci-dessous, en vert j’ai représenté l’ion tétrahydroxyborate (donc les ions compris dans les pipettes de lavage oculaire). En rouge j’ai représenté le PVAL (alcool polyvinylique qu’on trouve dans la colle Cléopâtre).
On voit clairement sur ces images que l’ion tétrahydroxyborate permet la mise en réseau de l’ensemble des molécules de PVAL. C’est ce qui confère au slime cette structure si particulière. Mais au fait, le slime c’est solide ou c’est liquide ?
Le slime c'est solide ou c'est liquide ?
Et bien difficile à dire en fait. C’est un peu des deux ! Quand on malaxe le slime dans notre main, on arrive bien à lui donner la forme d’une boule. Ce qui fait partie des propriétés des solides. Mais si on attend assez longtemps, la pâte va s’étaler et prendre la forme du récipient dans laquelle on l’aura déposé. Ce qui fait parti des propriétés des fluides.
Mais alors qu’est-ce donc ?
Fluide newtonien et non-newtonien
L’eau est un fluide dit newtonien (en hommage au grand physicien Isaac Newton). Si l’on frappe brusquement sur l’eau, sa viscosité sera la même que si l’on y met sa main délicatement. Autrement dit, notre main pénétrera aussi facilement l’eau si on la frappe de manière brusque ou délicate. Il n’y a pas de changement d’état car la viscosité ne change pas : c’est un fluide newtonien.
À l’inverse, si on frappe le slime de notre doigt, celui-ci ne s’enfoncera pas dedans. Alors que si on pose notre doigt doucement dessus, il s’enfoncera intégralement dedans, épousant la forme de notre doigt. Le slime est un fluide dit non-newtonien ou encore rhéoépaississant. Le préfixe rhéō vient du grec ancien et signifie « couler ».
Les fluides non-newtoniens sont donc des fluides dont leur viscosité dépend de la contrainte (force) qu’on leur applique. Il y a des fluides qui font le contraire du slime comme la ketchup. Quand on n’applique pas de contrainte dessus elle est moins visqueuse. Alors qu’avec une contrainte elle s’écoule plus facilement.
Exemple de la vie courante : la maïzena
La maïzéna de vos placards fait partie des fluides non newtoniens. Un peu de maïzena dans une assiette mélangée à un peu d’eau et le tout est joué ! Pour le coup c’est 100% sécurisé pour vos enfants qui peuvent même le mettre à la bouche !
Le principe est un peu le même sauf que les molécules responsables sont uniquement issues de la maïzena. Ce sont encore des polymères formés à partir de D-glucose. Quand on tape dessus, ils se regroupent et forment ainsi des agrégats qui n’aiment pas l’eau (hydrophobe). Ils font alors barrage à l’objet qui exerce une force (ou contrainte) sur le fluide.
Quand le fluide est au repos, l’eau peut circuler librement entre les polymères et confère alors au fluide ses propriétés liquides. Il y a tellement de vidéo sur le net que je n’ai pas eu besoin d’en faire pour vous montrer tout ça.
Alors, pour le fun, voilà des expériences abracadabrantes faites avec la maïzena :
Quiz
Sources de l'article
- https://www.inrs.fr/publications/bdd/fichetox/fiche.html?refINRS=FICHETOX_287
- https://fr.davidsuzuki.org/mode-de-vie/le-borax-stop-ou-encore/
- https://canadiensensante.gc.ca/recall-alert-rappel-avis/hc-sc/2016/59514a-fra.php
- https://inspq.qc.ca/toxicologie-clinique/intoxication-aigue-aux-borates
- https://www.inrs.fr/publications/bdd/fichetox/fiche.html?refINRS=FICHETOX_138§ion=pathologieToxicologie#tab_toxiHomme
- http://wiki.scienceamusante.net/index.php?title=Le_Slime
- https://culturesciences.chimie.ens.fr/thematiques/chimie-des-materiaux/polymeres/synthese-d-un-materiau-le-slime
- https://www.les-parents-creatifs.com/activites/experience-maizena-ou-le-fluide-non-newtonien
- https://grenoble.udppc.asso.fr/IMG/pdf/dossier_berlin.pdf
- https://sciences.brussels/printemps/download/2016/dossier_pedagogique/31.pdf
- livre en anglais de Karina Garcias – DIY Slime. (Do It Yourself Slime)
- Wikipédia
- notice Borax Mylan
11 commentaires pour “Comment faire du slime fluffy ?”
J’adore vous lire, cela n’a rien à voir avec l’article mais je tenais à vous l’écrire.
Votre blog est une mine d’or. Ne changez rien !
Et vous suivre sur Instagram est un réel plaisir et une source d’idée d’activités et disons le clairement d’informations genialissime.
Je vous souhaite ainsi qu’à votre famille une belle journée.
Sonia K.B
Waou, tu m’as fait rougir de plaisir Sonia 🙂 Merci de me suivre et de me lire. Plein de belles choses pour toi et ta famille !
Super activité pour apprendre en s’amusant fou rire garanti . Par contre une solution pour retirer le slime qui colle aux vêtements ?
Malheureusement je n’ai pas d’astuce pour le slime collé sur vêtements si ce n’est les laver à l’eau le plus rapidement possible.
Merci beaucoup moi qui n’aimait pas du tout le slime… Maintenant tu m’as donné envie.
Aller hop experience a faire avec mes filles. Elles vont adoré. Merciii Myriam
C’est sûr ! C’est hyper facile à faire et très agréable à manipuler 🙂
Merci Myriam ! On attend notre colle cleopatre et on essayera avec mes loulous et te tiens au courant !! 🙂
Coucou
Bon je met un Grain de sel et je voulais dire merci
Ton travail est toujours pertinent intéressant et ludique
Belle continuation
Merci d’avoir laisser ton grain de sel 🙂
Merci beaucoup, je vais essayer avant de la proposer à mes élèves, mais je sens qu’ils vont adorer!!!!
Oh oui ! Il y a de fortes chances qu’ils adorent. Et en même temps ils apprendront à manipuler + du vocabulaire.